mardi 17 mars 2009

Interview : Axel Buron, rédacteur du blog mobile N97


Bercé dans l’univers du multimédia depuis l'adolescence, Axel Buron est un de ces garçons consciencieux à qui la passion donne des ailes.

Collectionnant ainsi les casquettes de web designer, chef de projet ou encore graphic designer, ce touche à tout de talent se démarque aujourd’hui en rajoutant une ligne de plus à son CV.

Proboks est donc allé à la rencontre de ce rédacteur de blog pas tout à fait comme les autres, véritable enfant des technologies mobiles et représentant assidu de l’actualité du très prometteur N97 de Nokia.


Connecting people.


# Axel, peux-tu te présenter, nous dire deux mots sur qui tu es et ce que tu fais ?

Je m’appelle Axel Buron, j’ai commencé à m’intéresser au graphisme dès mes 15 ans, c’est assez naturellement que je me suis dirigé vers le multimédia, pour me spécialiser dans le web ces dernières années.
J’ai fait quelques va et vient entre l’école et le monde du travail, 2 ans de formation multimédia puis 2 ans dans la publicité sur Internet en tant que chef de projet. Je suis actuellement en train de terminer mes études…tout en montant des projets web, dont un blog consacré au Nokia N97.

# Parle-nous plus précisément de ton blog, Blog-N97.fr.

C’est avant tout un blog de passionné de mobiles. J’essaie, au quotidien, de partager les dernières infos, dernières vidéos et applications disponibles pour le N97 dont je suis tombé amoureux dès les premières présentations.


# Comment est née cette passion pour la téléphonie mobile ?

J’ai toujours été intéressé par les nouvelles technologies et surtout Internet. Mon intérêt pour les téléphones portables a réellement commencé lors de l’arrivée des premiers Smartphones. A l’époque il semblait aberrant qu’un mobile fasse autant de choses…comme quoi !

# Quel regard portes-tu sur l’engouement pour l’Iphone à l’aube du lancement du N97 ? A quel grand changement doit-on s’attendre ?

C’est un sacré gros coup de boost. L’iPhone a un succès immense, qu’il mérite largement. Selon moi, le challenge à moyen terme est de rattraper le retard ergonomique et ludique de Nokia sur Apple. C’est le plus difficile car technologiquement parlant Nokia est au dessus.

Nokia essaie de changer la façon dont on entreprend une expérience mobile, le N97 est en plein dans cette optique, qui est ultra stratégique pour eux. Les enjeux évidents des prochains 8 mois sont en train de dynamiser le marché (toutes marques confondues), ce qui est très positif pour le consommateur.

# Que demanderais-tu de plus à Nokia pour te faciliter la vie ?

De la fluidité à ne pas savoir qu’en faire (rapidité d’utilisation et ergonomie intelligente). Je rêve d’un mobile avec lequel l’utilisateur fait « corps » et l’utilise de façon naturelle sans même y penser…

# Comment estimes-tu la place du web dans tes différentes activités ?

Centrale ! Je respire web, tout simplement. Tous mes projets à moyen et long terme sont des projets web. Mais je garde en tête qu’Internet est un média et que derrière il y a des gens, des « vrais ». Il ne faut jamais l’oublier lorsqu’on lance un projet.


# Pour terminer, ta définition du talent ?

Hum, dans mon état d’esprit du moment je dirais : la capacité à prendre les bonnes décisions aux bons moments tout en sachant pourquoi.

Retrouvez toute l'actu mobile sur le blog N97 à l'adresse suivante www.blog-n97.fr, bon surf !

jeudi 12 mars 2009

Mecredi, c'était hier mais c'était permis !


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Dessert Lovin'

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Converse Pink Floyd


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Music Baloon


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YouTube Addict


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Roulette suédoise

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Yo !

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Sleeping Bag

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Punchncuddle


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mardi 10 mars 2009

Interview : And this is Max ! Une voix, des cuivres et une basse musclée...

photo Alice Landry

Qui n’a pas rêvé, dansé, chaviré au moins une fois dans sa vie aux accents de la soul music ?


Mené par Raphaël Max Hiribarne, And this is Max ! c’est cette façon troublante d’associer l’essence de la soul à une sorte de patchwork sonore où les harmonies jazz croisent une feeling funk évident.

La nu-soul énergique de ces 8 garçons dans le vent remet au goût du jour cette émotion brute et à fleur de peau des princes de la soul funk des années 70.

La musique d’And this is Max ! est donc à découvrir d’urgence, mais avant de gouter à ce mélange qui ferait saliver n’importe quelles papilles, l’interview c’est en par ici et c’est sur Proboks !

# Deux mots pour vous présenter…

Max : Groove et Feeling. Les pieds dans le funk et la tête dans la nu-soul.

# Comment s’est formé le groupe ?

Max : Le projet a commencé avec Bertrand (trompettiste), ami de lycée. Je me souviens, nous étions tous deux à la gare Montparnasse en septembre 2007. J'écoutais depuis quelques semaines un album de Jamiroquaï (Travelling Without moving) et j'ai proposé spontanément à Bertrand de monter un groupe dans ce style disco-groovy.

Bertrand : Sur le moment, je ne savais pas encore comment on allait faire mais j'étais motivé. On a commencé à regarder autour de nous pour recruter des musiciens.On avait en tête une grosse section cuivre qui appuie un chanteur dynamique sur une base groovy. En 4 mois, on avait réuni un bassiste, un guitariste, un clavièriste et un saxophoniste. Manquait plus qu'un batteur. Charles a montré le bout de ses baguettes en janvier 2008.

Max : Malgré l'arrivée du batteur, on avait le sentiment qu'il nous manquait toujours quelque chose. Nous nous sommes donc mis en quête d'un tromboniste. Ce n'est qu'en septembre 2008 que l'on trouva chaussure à notre pied en la personne de Jeff. Ainsi formé, le groupe commence à trouver peu à peu son propre son.

photo Diane d' Esposito

# Vous avez chacun des influences différentes, qu’est ce que vous apporte cette union, artistiquement et humainement ?

Max: Beaucoup de problèmes ! (rires)

Bertrand : Oui, c'est sûr que concilier les désirs de chacun n'est pas toujours facile. Huit musiciens, c'est une grande famille... On a nos coups de gueules, nos coups de blues, mais aussi des gros fagots de kiffs.

Charles : C'est un peu comme Plus Belle La Vie en fait... On s'aime, on se déchire, et à la fin, on s'en sort toujours bien. En même temps, ca nous enrichit beaucoup, et surtout, ca sert la musique.

# Comment travaillez-vous ? (votre méthode de travail)

Bertrand : On se voit 2 fois 3 heures par semaine afin de travailler les compos, les arrangements, le groove et les chorés des cuivres. En ce qui concerne la composition en groupe, l'un des musiciens propose une idée en répétition et chacun tente de trouver sa partie dessus. Ca nous accorde beaucoup de libertés : chacun apporte son univers et sa sensibilité musicale.

# Quel bilan tirez-vous de votre première série de concerts depuis le début de l’année ?

Max : D'abord heureux d'enchaîner date sur date depuis le 24 janvier et de voir, à chaque concert, le bon accueil du public. Bien sûr, on a connu quelques plans galères. On en garde pas d'excellents souvenirs, mais c'est toujours une bonne expérience à prendre.

photo Arnaud Vincenti

# …Et pas trop stressés à la veille de votre prochaine scène au Gibus le mois prochain ?

Charles : On a toujours une petite montée de stress avant les concerts mais je pense que c'est inhérent à notre volonté de faire une bonne prestation. Pour le coup, en arrivant au Gibus dans un mois, on balancera les nouvelles compos et on fera groover tout le monde !

# Qu’est ce qu’on peut vous souhaiter pour les mois à venir ?

Charles : De réussir les tremplins et de faire un maximum de concerts !

Bertrand : Composer, composer, composer.

Max : Enregistrer un EP de 4 titres.

# Aujourd’hui le succès de jeune groupe passe beaucoup par Myspace ou d’autres plateformes semblables à des « vitrines »… A ce propos, comment estimez-vous la place du web dans votre démarche d’artiste ?

Charles : Avec le peu de moyens dont on dispose, le web est pour nous essentiel. Nous utilisons principalement MySpace pour diffuser nos titres et assurer notre promo musicale. Quand il s'agit de rameuter du peuple à nos concerts, on harcèle nos contacts Facebook ! On a quelques autres projets dans les cartons, mais encore rien de défintif.

photo Diane d' Esposito

# Pour terminer, votre définition du talent ?

Bertrand : Talent : n.m. Chose propre à quelqu'un de talentueux.

Max : Aujourd'hui, en musique, c'est d'apporter de nouvelles choses.

Charles : Pour moi, le talent, c'est le gâteau sur la cerise.

# Et enfin, où est-ce qu’on vous trouve ?

Bertrand : Sur MySpace, sur Facebook, sur Youtube…

Charles : Et sur scène. Mais ça fait plus de bruit.


Découvrez And this is Max !!


L’actualité d’And this is Max ! c’est sur leur Myspace www.myspace.com/andthisismax et leur prochain concert le 27 mars au Gibus pour le 2ème tour du tremplin EMERGENZA. Venez nombreux ! l'event Facebook

mercredi 4 mars 2009

Interview Proboks : Sybille d'Orgeval, réalisatrice de l'exposition 6 milliards d'autres

Sens de l’échange. Curiosité sans frontière. Expérience pragmatique et singulière. L’exposition 6 milliards d’autres ou le zoom vertigineux d’Arthus Bertrand et de ses acolytes vers ceux qui sont en bas.

Fusionnant ainsi en un point près de 5000 témoignages d’hommes et de femmes de plus de 70 pays, l’exposition a fermé ses portes le 12 février dernier.

Loin du tumulte et de l'agitation du monde contemporain, loin de l'excitation, retour sur cet incroyable projet avec la co-réalisatrice de l’exposition, Sybille D’Orgeval.


Interview 6 millards d'autres, Sybille d'Orgeval from Proboks on Vimeo.

www.6milliardsdautres.org

Humaniste autoproclamée citoyenne du monde et reconnu pour son parcours, cette ambassadrice légitime du concept one world nous ouvre les yeux et nous donne l’envie d’espérer des jours meilleurs : it’s a human to human communication !




6 milliards d'Autres from Galdric on Vimeo.